ASSEMBLEE GENERALE INTERPRO
Lundi 26 Janvier à 18 h.
Bourse du Travail à 18 h.
Place St-Sernin Toulouse
Le gouvernement, en favorisant les heures supplémentaires et les CDD à répétition, a jeté de l¹huile sur la flambée du chômage et de la précarité. Le spectacle de l¹enrichissement de quelques-uns, des énormes bénéfices des multinationales, des plans de sauvetage multimilliardaires, devient intolérable dans un contexte d¹appauvrissement général . La précarité est une politique d¹assignation, une volonté de diviser et de contrôler qui ne peut être séparée des diverses offensives antisociales en cours.
De la casse de l¹école publique à la chasse aux sans papiers, en passant par la répression policière toujours plus étendue (de Tarnac à Marciac en passant par les quartiers populaires) et les morts de froid dans nos rues, nous pourrions sans fin égrener la litanie des malheurs qui nous frappent. . Mais peut-être que l¹époque n¹est plus aux jérémiades mais à la riposte.
Depuis quelques semaines, réuniEs en interpro, nous manifestons, nous occupons (Anpe, Capitole), nous bloquons l¹entrée de grands magasins, propriétés de pontes du MEDEF alors qu¹ils essaient encore une fois de faire reculer nos droits sociaux. Parce que nous savons que ni les sautes d¹humeurs, ni les débats d¹idées ne leur ont jamais fait perdre un centime, nous voulons bloquer l¹économie pour faire plier le patronat et le gouvernement à sa solde. Nous n¹accepterons pas de nouveaux reculs des solidarités, facteurs d¹aggravation de la crise. Chômeurs, précaires, intermittents et salariés avec ou sans papier, nous devons bénéficier aujourd¹hui d¹un véritable bouclier social financé par un nouveau partage des richesses. Les richesses n¹ont de valeur que dans
leur utilité.
L¹épuisement inutile dans des productions mortifères n¹a pas de sens. Nous voulons une société solidaire basée sur le principe simple de : à chacunE selon ses besoins.Nous savons aussi que c¹est dans la convergence que nos luttes seront fructueuses. Que c¹est la coordination et la solidarité qui nous
permettrons de nous ériger en menace. Parce que la question n¹est pas de savoir si c¹est le moment mais comment ? avec qui ? et pourquoi ?
Nous ne paierons pas leur crise !
RESISTANCE !
Lundi 26 Janvier à 18 h.
Bourse du Travail à 18 h.
Place St-Sernin Toulouse
Le gouvernement, en favorisant les heures supplémentaires et les CDD à répétition, a jeté de l¹huile sur la flambée du chômage et de la précarité. Le spectacle de l¹enrichissement de quelques-uns, des énormes bénéfices des multinationales, des plans de sauvetage multimilliardaires, devient intolérable dans un contexte d¹appauvrissement général . La précarité est une politique d¹assignation, une volonté de diviser et de contrôler qui ne peut être séparée des diverses offensives antisociales en cours.
De la casse de l¹école publique à la chasse aux sans papiers, en passant par la répression policière toujours plus étendue (de Tarnac à Marciac en passant par les quartiers populaires) et les morts de froid dans nos rues, nous pourrions sans fin égrener la litanie des malheurs qui nous frappent. . Mais peut-être que l¹époque n¹est plus aux jérémiades mais à la riposte.
Depuis quelques semaines, réuniEs en interpro, nous manifestons, nous occupons (Anpe, Capitole), nous bloquons l¹entrée de grands magasins, propriétés de pontes du MEDEF alors qu¹ils essaient encore une fois de faire reculer nos droits sociaux. Parce que nous savons que ni les sautes d¹humeurs, ni les débats d¹idées ne leur ont jamais fait perdre un centime, nous voulons bloquer l¹économie pour faire plier le patronat et le gouvernement à sa solde. Nous n¹accepterons pas de nouveaux reculs des solidarités, facteurs d¹aggravation de la crise. Chômeurs, précaires, intermittents et salariés avec ou sans papier, nous devons bénéficier aujourd¹hui d¹un véritable bouclier social financé par un nouveau partage des richesses. Les richesses n¹ont de valeur que dans
leur utilité.
L¹épuisement inutile dans des productions mortifères n¹a pas de sens. Nous voulons une société solidaire basée sur le principe simple de : à chacunE selon ses besoins.Nous savons aussi que c¹est dans la convergence que nos luttes seront fructueuses. Que c¹est la coordination et la solidarité qui nous
permettrons de nous ériger en menace. Parce que la question n¹est pas de savoir si c¹est le moment mais comment ? avec qui ? et pourquoi ?
Nous ne paierons pas leur crise !
RESISTANCE !